Bulletin intérieur 210

Mot du président

Chers Sociétaires et amis de la SHA 14,

Nous nous devons de rendre hommage à André Brageu. Notre cher vice-président et ami, est décédé le 27 mai dernier et ses obsèques ont eu lieu à l’église Saint-Pierre de Montrouge, le 6 juin. Il nous manque déjà.

Dans ce bulletin ainsi que dans le prochain, nous voulons aussi évoquer la mémoire de Ferdinand Brunot, grammairien de très haut niveau, grand historien de la langue français et maire du XIVe arrondissement, entièrement dévoué à ses administrés durant la Grande Guerre, un Homme d’exception…

Nous remémorons également la geste héroïque du Colonel Henri-Rol-Tanguy en rappelant ses PC dans notre Petite Patrie. Ils étaient au cœur des combats de la Libération de Paris, n’oubliant pas, d’ailleurs, le rôle de l’Organisation Juive de Combat dans la protection en surface du PC à 36 mètres de profondeur sous la Barrière Ouest de la place Denfert-Rochereau. Notre arrondissement n’est-il pas le plus emblématique de cette glorieuse période de l’histoire de France ?

Le dernier trimestre, comme toute l’année 2014, se partagera entre les commémorations du Centenaire de la Grande Guerre et le 70e anniversaire de la Libération de Paris. Nous avons été présents le 6 septembre au Forum de la Rentrée et nous le serons  les 20 et 21 du mois aux Journées du Patrimoine à La Coupole.

Nous achèverons la commémoration du 70e anniversaire de la Libération de Paris par deux manifestations. Le 27 septembre, il y aura une conférence avec projection sur La Libération de Paris, Le Colonel Rol-Tanguy, le Général Leclerc et le 4 octobre, le Casa et la SHA 14 organisent une promenade en car suivie d’un goûter à La Coupole.  Elle se déroulera sur Les Pas de Jean Moulin, du Colonel Rol-Tanguy et du Général Leclerc. Les inscriptions sont ouvertes auprès du CASA, au 1er étage, 26, rue Mouton-Duvernet.

Le samedi 18 octobre, Francis Mandin vous présentera sa conférence avec projection sur La véritable histoire du Château du Maine ou les mystères d’un domaine disparu, au cœur du quartier de Plaisance. Dans son ouvrage, l’auteur a, d’ailleurs, fait œuvre de bénédictin cherchant dans les archives tout ce qui concernait ce mystère qui a donné son origine à la rue du Château.

Nous terminerons l’année par la commémoration du Centenaire de la Grande Guerre par deux ou trois activités. Nous vous invitons le jeudi 6 novembre à 15 heures à une visite de la mairie avec présentation de l’exposition de Charles Lansiaux, photographe du XIVe durant la terrible épreuve, il y a cent ans. Le samedi 15 du même mois, vous sera présentée une conférence sur Apollinaire, le soldat à la tête bandée, le poète à la tête étoilée.

A l’aune de la saison 2014-2015, nous voulons lancer un appel. Votre Société a grand besoin de bonnes volontés. De la belle histoire de notre Petite Patrie ne devons-nous pas, chercher l’or, l’encens et la myrrhe du temps, sans oublier de grâce, l’intelligence de l’espace ?
Georges Viaud

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Hommage à André Brageu (1920-2014)

André Brageu est né en 1920 à Douai, à l’ombre du beffroi qu’immortalisèrent Camille Corot et Victor Hugo, d’une famille dont le père était musicien et le frère de celui-ci sculpteur. Il s’inscrivit à l’âge de 16 ans à l’Ecole des Beaux-Arts de sa ville natale où il s’initia au dessin et à la peinture, sous la direction du professeur Victor Florent Méreau, élève du peintre Fernand Cormon. Il compléta ensuite sa formation en suivant les cours d’architecture et de sculpture du professeur Camille Minotti.

Pendant la Seconde Guerre Mondiale, il s’installa en octobre 1942, rue Daguerre poursuivant ses études à l’Ecole des Beaux-Arts de la ville de Paris, vivant alors avec sa sœur Yvette. Il refusa de partir en Allemagne nazie pour le STO dont il était réfractaire.

Recherché par les polices nazie et française, il a toujours réussi à échapper à leur surveillance. La concierge de l’immeuble, Madame Viala, était appelée affectueusement Mémère. A cette époque, les locataires laissaient leurs clés à la loge. André Brageu aimait rappeler la résistance subtile de sa concierge, la précieuse Mémère. Je cite ses propos.

« En arrivant dans l’immeuble, j’allais prendre mes clés à la loge. Je la saluais en poussant la porte. Mémère me repoussait en me disant « mais je ne vous connais pas », je savais ainsi que la police était à la recherches de personnes. Je partais alors dans le quartier, en attendant que la perquisition soit finie, et les amis venaient me dire que le danger était passé. »

Il nous a également raconté que lors des contrôles d’identité qui se tenaient à la sortie du métro Denfert-Rochereau, les usagers prévenaient ceux qui descendaient par un geste significatif. Par contre, il a été pris par les gendarmes qui l’ont conduit à la caserne de Port-Royal. Lors de son interrogatoire, un gendarme lui signifia de se rendre aux toilettes ce qu’il refusa, ne manquant pas de caractère. L’agent de la force publique insistant, il s’y rendit trouvant une porte entrebâillée sur l’extérieur par laquelle, il a pu s’échapper. A la Libération de Paris, il a courageusement participé à des combats rue Froidevaux et rue Daguerre.

A la suite, il a exercé le métier de tapissier puis il est entré au bureau d’études d’entreprises de travaux publics, travaillant notamment pour les Ponts et Chaussées. Licencié pour des raisons économiques au bout de 27 années de bons et loyaux services, il se lança avec un de ses camarades des Beaux-Arts de la ville de Paris dans le façonnement de présentoirs pour des grands parfumeurs, joailliers et lunetiers.

Parvenu à l’âge de la retraite, il se consacra à sa vocation première, celle d’artiste peintre. Au temps de la présidence de René-Léon Cottard, il adhéra à la Société Historique et Archéologique du XIVe arrondissement, proposant, d’ailleurs, de décorer le stand de la Brocante. Elu à la suite au Conseil d’Administration de sa chère Société Historique, il en deviendra l’un des vice-présidents sous la mandature de Georges Viaud, devenant l’une de ses chevilles ouvrières, se dévouant corps et âme.

Il s’est investi à écrire des articles dans la revue et le bulletin ainsi que pour sa mise sous pli. Il veillait sur la collection des cartes postales tout en rangeant et décorant la salle des archives. Il installait le stand de la Brocante tout en s’occupant avec un soin extrême de l’exposition, révélant, si besoin est, un grand sens artistique. Il y avait exposé de nombreuses toiles en belle compagnie de ses cartes postales et des œuvres de ses amis peintres.

A l’annonce de sa disparition, nous avons été très peinés. C’est une grande perte pour la Société Historique et Archéologique du XIVe arrondissement. Nous avons, d’ailleurs perdu un ami très cher.

Cher André, nous ne t’oublierons pas car ton dévouement, ta gentillesse et ton sourire rayonnaient autour de nous.
Georges Viaud

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Ferdinand Brunot (1860-1938), travaillant le bois chez lui,

8, rue Leneveux, 75014, Paris[1]

 

Ferdinand Brunot, un Homme d’exception

Le nom de Ferdinand Brunot (1860-1938) représente essentiellement dans l’esprit «  Quatorziens » et des Parisiens, le maire qui a donné son nom à la place éponyme, juste hommage à son dévouement pendant la Grande Guerre comme premier magistrat de cet arrondissement alors plutôt populaire. La place est parvis  de la mairie où se déroulent notamment les cérémonies mémorielles de la fin de la Guerre d’Algérie, de la Journée du Souvenir des déportés, du 8 mai 1945, de l’Appel du 18 juin, du 25 août 1944 et du 11 novembre 1918.

Ferdinand Brunot est bien davantage. Il est à juste titre un « lieu de mémoire » de l’histoire française. Historien de la langue, il fut le créateur d’une monumentale Histoire de la langue française, unique en son genre par sa profusion et sa valeur documentaire. Professeur d’université, il fut un brillant notable de la vie intellectuelle en France dans le premier tiers du XXe siècle. Philologue, linguiste et pédagogue, il fut l’une des voix les plus audacieuses dans le mouvement de réforme de l’enseignement et de l’orthographe. Il a été également maire de l’arrondissement de 1910 à 1919.

A la mairie du XIVe arrondissement, dès la première quinzaine du mois d’août 1914, il s’est constitué des commissions de ravitaillement et d’assistance. Ferdinand Brunot, se considérant « comme mobilisé civil à son poste », s’était mis en congé de l’Université, interrompant son travail personnel. Il donna ainsi tout son temps à ses administrés dans la souffrance.

En premier lieu, le maire fit dresser l’inventaire des moyens existants puis il élargit le champ d’action des Œuvres municipales, Caisse des Ecoles, Crèche et Vestiaire ainsi dès 13 août, elles étaient en place. Disons  que sur les 163 523 habitants du XIVe, d’après le recensement de 1911, il y avait près de 50 000 assistés.

A la date du 13 août 1914, il créait l’Union des Œuvres municipales de Guerre réunissant les œuvres municipales et les sociétés de bienfaisance, fondées par l’initiative privée. « On peut dire que la Mairie du XIVe, loin de la  politique et de la religion, fut bien la Maison commune, ouverte à tous. » Elle vint également en aide aux réfugiés français ou alliés et aux étrangers qui étaient nombreux dans la bohème de Montparnasse.

Nous vous présenterons dans la prochaine parution l’étendue de l’œuvre accomplie durant ces quatre années de malheur. Ferdinand Brunot a été vraiment un Homme d’exception….

Georges Viaud

[1] Ecole de Nancy

http://www.ecole-de-nancy.com/web/index.php?page=brunot

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Photographie certainement prise après la semaine glorieuse de la Libération de Paris[1]

« Pour accomplir sa mission, Rol dispose d’un état-major dont il aimait rappeler la grande compétence militaire. Deux de ses membres viennent de l’armée d’active : le lieutenant-colonel d’infanterie Villate (Rethal), adjoint du chef d’état-major, et le lieutenant-colonel d’artillerie Avia (Canon), chef du 3e bureau. Pornot (Leparc), chef du 4e bureau, est ingénieur mécanicien auxiliaire de la marine. Les autres sont sous-officiers ou officiers de réserve : capitaine, le chef d’état-major Roger Cocteau (Gallois) ; adjudant, le chef du 1er bureau, Van der Meersch (Delalande) ; lieutenant, le chef du 2e bureau, Kergall (Larcouest) ; capitaine, son adjoint, Réa (Robert Pierre), ainsi que les adjoints d’Avia au 3e bureau, Trutié de Varreux (Brécy) et Scarpazza (Fabrice). »

 

Extrait de l’article de Roger Bourderon,
Le colonel Rol-Tanguy, Une Vocation militaire
(A lire dans son intégralité)[2]
Les PC du Colonel Rol-Tanguy

Démobilisé le 16 août 1940, il arriva à Paris le 19 du mois. Henri Tanguy et Cécile, son épouse, se lancèrent aussitôt dans la résistance au Parti Communiste. Il a été d’août 1940 à mars 1941, l’un des responsables des comités populaires clandestins de la métallurgie parisienne ; de mars à juillet 1941, le responsable politique d’un secteur de Paris du PCF ; de juillet 1941 à septembre 1942, le responsable militaire des FTP de la région parisienne ;  de septembre 1942 à mars 1943, le responsable des FTP en Anjou Poitou et de mars à septembre 1943, le responsable FTP de la région parisienne. Il est alors affecté au Comité d’action contre la déportation (CAD) qui a pour mission d’empêcher le départ en Allemagne des requis du STO notamment par la fabrication de faux-papiers.

A la fin de l’année 1943, Henri Tanguy a été nommé responsable du 3e bureau, chargé de l’action immédiate, au sein des futures FFI en phase de composition, créées en février 1944. La veille du Jour le plus long, le 5 juin, il devint le chef régional d’Île-de-France avec le titre de colonel choisissant son dernier pseudonyme en hommage à Théo Rol, chef du bataillon d’instruction des Brigades Internationales où il était le commissaire politique qui fut tué le 8 septembre 1938 à la bataille de l’Ebre.

La destinée du Colonel Rol-Tanguy, n’a-t-elle pas prescrit qu’il devait échapper aux arrestations. La Libération de Paris aurait ainsi perdu un grand stratège, reconnu, d’ailleurs, par des militaires de haut rang comme les généraux Pierre Billotte, Marie-Pierre Koenig ou Jean de Lattre de Tassigny. Entre oppression nazie et résistance, Cécile et Henri Tanguy eurent 2 enfants sous l’Occupation,  Hélène, née le 28 mai 1941 et Jean, né le 13 novembre 1943, Claire et Francis étant nés après la guerre.

Les PC du Colonel Rol dans le XIVe arrondissement

Au sujet de la Libération de Paris, on a coutume d’évoquer  la Glorieuse semaine allant en fait du 15 au 25 août 1944, alors que nous devions parler des journées allant du 10 au 25 du mois. Elles commencèrent par la grève des cheminots, commémorant, d’ailleurs, la prise des Tuileries, s’achevant par l’entrée héroïque de la 2e Division Blindée dans Paris.

Le 14 août, le Colonel Rol-Tanguy fit sortir de la clandestinité son état-major, il l’installa dans deux appartements aux 11, rue François Coppée à Malakoff et 103, avenue Verdier à Montrouge., prélude tactique à l’installation dans des locaux de la ville de Paris. Le 18 du mois elle s’est faite dans une antenne du service de nettoyage, 66, rue de Meaux dans le XIXe arrondissement, le 19 dans un immeuble des services des eaux et des égouts, 7-9, rue Schœlcher puis le 20 dans l’abri de défense passive sous la Barrière ouest de Ledoux, 2, place Denfert-Rochereau, au cœur des combats dans notre Petite Patrie.

Nous remarquons que les adresses, choisies dans le XIVe avaient de par leur nom, une forte charge symbolique, Victor Schœlcher n’avait-il pas été à l’origine de l’abolition de l’esclavage en 1848 et le Colonel Denfert–Rochereau surnommé Le Lion de Belfort, n’avait-il pas résisté victorieusement aux Prussiens en 1870 ?

Le samedi 27 septembre à 15 heures, nous vous présenterons une conférence avec projection sur La Libération de Paris, Le Colonel Rol-Tanguy, le Général Leclerc tout en rappelant le rôle héroïque de l’Organisation Juive de Combat dans la protection en surface du PC du Colonel Rol-Tanguy sous la place Denfert-Rochereau.

Georges Viaud

[1] VIRD (Vienne, Résistance, Internement, Déportation) – Mémorial
http://www.vrid-memorial.com/afficher/rubrique/3/resistance/article/234/Henri-ROL-TANGUY.html
[2] Roger Bourderon, Le colonel Rol-Tanguy, Une Vocation militaire
http://rha.revues.org/1043

 

 

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L’Observatoire de Paris à la fin du XVIIe siècle[1]

Depuis 1860, le XIVe arrondissement s’intitule de l’Observatoire.

 

Les Activités de la SHA 14

De septembre à novembre, les conférences ont lieu à 15 heures à la salle polyvalente de la mairie du XIVe arrondissement de Paris 2, place Ferdinand Brunot, 75 014, Paris

 Samedi 6 septembre : Le Forum de la Rentrée

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Samedi et dimanche 20 et 21 septembre : Les Journées du Patrimoine à La Coupole.

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Samedi 27 septembre : conférence avec projection sur La Libération de Paris, Le Colonel Rol-Tanguy, le Général Leclerc.

Présentation du film de la libération de Paris

« Les combats pour la libération de Paris, filmés par une équipe de cinéastes de la Résistance, sont les premières images de la France libérée, diffusées par France Libre Actualités et le Comité de Libération du Cinéma Français, que voient les Français de métropole dès les premiers jours de septembre. Ce reportage présente notamment un extrait du discours prononcé par le général de Gaulle à l’Hôtel de Ville de Paris le 25 août, qu’il contribue à faire passer à la postérité. »[2]

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Samedi 4 octobre

Dans le cadre du 70e anniversaire de la Libération de Paris, le Casa et la SHA 14 organisent une promenade en car suivie d’un goûter à La Coupole moyennant le prix de 25 €. Elle se déroulera sur Les Pas de Jean Moulin, du Colonel Rol-Tanguy et du Général Leclerc. Vous pouvez vous inscrire auprès du CASA, au 1er étage du 26, rue Mouton-Duvernet.

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Samedi 18 octobre

Nous vous invitons à assister à une conférence avec projection par Francis Mandin où vous sera narrée avec beaucoup de passion La véritable histoire du Château du Maine ou les mystères d’un domaine disparu, au cœur du quartier de Plaisance.

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jeudi 6 novembre

Nous organisons le jeudi 6 novembre à 15 heures, une visite historique de la mairie ainsi que la présentation de l’exposition du photographe Charles Lansiaux durant la Grande Guerre. Il demeurait, d’ailleurs, au 2e étage de l’immeuble situé, 4, villa Saint-Jacques. Il a fait près de 1000 photographies dans tout Paris dont de nombreuses dans notre arrondissement. L’exposition Paris, 14-18, La Guerre au quotidien, qui s’est tenue du 15 janvier au 15 juin à la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris l’avait remis à l’honneur.

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Samedi 15 novembre : Conférence sur Apollinaire, le soldat à la tête bandée, le poète à la tête étoilée.

Evoquez Apollinaire, c’est évoqué l’histoire d’un apatride, aux origines incertaines, né à Rome, qui est devenu l’un des plus grands poètes de la langue française du XXe siècle. Riche d’un talent protéiforme, il a été critique d’art et littéraire, conteur, directeur de revue, éditeur et journaliste. Ami des peintres, il fut un grand défenseur de l’art moderne tout en ouvrant de nouveaux chemins à la poésie de la Belle Epoque. Notre chantre de la modernité ne pouvait que fréquenter notre belle Petite Patrie. Nous vous le raconterons…

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La Visite du Musée Clemenceau est prévue pour le 3e week-end ou bien pour le 4e du mois de novembre.

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Manifestations à Paris et dans le XIVe

70e anniversaire de la Libération de Paris

Cette grande exposition Libérer Paris. Août 1944 se tiendra jusqu’au 27 septembre à l’Hôtel de Ville, salle Saint-Jean. Elle sera visible à la suite au Mémorial du Maréchal de Hauteclocque  et de la Libération de Paris – Musée Jean Moulin.

Au musée Carnavalet, il vous est présenté l’exposition Paris libéré, Paris photographié, Paris exposé jusqu’au 8 février 2015.

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31e Journées du Patrimoine dans le XIVe arrondissement

A l’initiative de Carine Petit, la maire du XIVe arrondissement et de Danièle Pourtaud, déléguée au Patrimoine…, auprès du maire, il y aura des sites exceptionnels qui seront ouvert pour la première fois.

Mairie et mairie annexe, 2, place Ferdinand Brunot et 12, rue Pierre Castagnou : visites guidées le samedi 20 septembre de 14 h. à 16 h. et le dimanche 21 de 10 h. à 18 h.

Prison de la Santé, 42, rue de la Santé : l’inscription est obligatoire sur le site du ministère de la Justice et il y a des visites guidées de 45 mn les samedi et dimanche  de 8 h. à 18 h.

Réservoir de Montsouris, angle rue de la Tombe Issoire er avenue Reille : visite par groupe de 25 personnes, les samedi 20 et dimanche 21 sur inscription sur le site www.eaudeparis.fr

L’Hôtel de Massa, siège de la Société des Gens de Lettre, 38, rue du Faubourg Saint-Jacques : visites guidées  uniquement le samedi 20 de 14 h. à 18 h.

Bonnes journées du patrimoine à la découverte du XIVe arrondissement
[1] Excellent site sur les carrières et les Catacombes de Paris
http://ktakafka.free.fr/date.htm
[2] Fondation Charles de Gaulle
http://www.charles-de-gaulle.org/

 

 

A propos Georges VIAUD

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