Faire de l’histoire locale :
– C’est d’abord et surtout ouvrir les yeux sur l’endroit où l’on vit, sur son environnement, être sensible à ce qui le compose : immeubles, monuments, commerces, squares, plantations, organisation des voies de circulation etc.. .et aux personnes qui y demeurent,
– C’est se laisser guider par le sentiment de sympathie qui fait qu’on s’attache à son quartier et qu’au fil des jours, on s’y intéresse toujours plus,
– C’est chercher à connaître son quartier et son voisinage, c’est faire des recherches sur son évolution passée, imaginer la vie qui s’y est déroulée, qui a constitué l’histoire locale en marge de le « grande histoire » de notre pays,
– C’est s’intéresser aux événements dramatiques ou non, culturels ou non, modestes ou à répercussion nationale qui ont eu lieu dans son quartier, aux hommes et aux femmes , célèbres ou on, qui y ont vécu ou y vivent, aux hommes et aux femmes qui l’ont façonné,
– C’est être attentif aux changements qui s’y opèrent, prendre parti au nom de l’histoire locale et de l’amour du patrimoine local, le cas échéant œuvrer pour modifier ou contrarier ces changements.