Société Historique et Archéologique
Du XIVe arrondissement de Paris
(dite aussi Société d’histoire et d’archéologie du 14e Arrondissement)
C’est une association de la loi de 1901, fondée en 1953,
où le siège est à la mairie, 2, place Ferdinand Brunot, 75014 Paris
Veuillez relever les différences entre cette carte postale de la Belle Époque et l’actuelle mairie
Activités de la Société Historique du XIVe arrondissement de Paris
Les conférences ont lieu à 15 heures à la
Salle polyvalente de la mairie sauf manifestation exceptionnelle
Le Forum de la rentrée, les Journées du Patrimoine et les conférences
Le 9 septembre : Le Forum de la Rentrée sur le parvis de la mairie du XIVe arrondissement.
Les Journées du Patrimoine
Les samedi 16 et dimanche 17 septembre prochains : nous vous convions à 10 heures à la Balade du Nord-Est et à 15 heures 30, la Balade du Nord-Ouest. Il en est de même des visites de la mairie principale et annexe…
Nous vous donnons rendez-vous dans le hall d’honneur de la mairie principale.
Les conférences
Le 23 septembre : L’histoire des rues du quartier du Petit-Montrouge par Georges Viaud.
Le 14 octobre : L’histoire des rues du quartier du Parc de Montsouris par Jean-Gabriel Laval.
Le 18 novembre : L’histoire des rues du quartier de Plaisance par Yvan Belledame.
Le mot du président
Chers Amis,
Le 10 juin dernier, La promenade urbaine de la rue Cassini a été un bel échange de savoirs où notamment l’érudite astronome Suzanne Débarbat nous fit part de sa culture historique sur l’Observatoire de Paris. Que tous les participants en soient également remerciés.
Le 25 juin, nous avons été conviés à « Livres en Seine » au Parc de Montsouris. Organisé par le Conseil de Quartier Montsouris-Dareau et son président Franck Layré-Cassou, par un beau soleil, nous étions sur la pelouse au milieu des livres et face au kiosque à musique. Ce fut un précieux moment de convivialité…
Le 9 septembre, nous vous attendons nombreux au Forum de la Rentrée sur le parvis de la mairie du XIVe arrondissement et ses rues adjacentes. Nous y évoquerons les prochaines Journées du Patrimoine des 16 et 17 septembre prochains. Il y sera présenté les deux Balades du Patrimoine sur les Monuments Historiques de Montparnasse et de sa proximité en partenariat avec la mairie ainsi que les visites des mairies principale et annexe.
Le 14 octobre, Jean-Gabriel Laval exposera L’histoire des rues du quartier du Parc de Montsouris et le 18 novembre, Yvan Belledame, L’histoire des rues du quartier de Plaisance.
Le 23 septembre, nous vous raconterons L’histoire des rues du quartier du Petit-Montrouge. Notre Petite Patrie aime la hauteur. N’avons-nous pas Montparnasse, Montsouris et Montrouge ainsi que les rues Montbrun et du Saint-Gothard.
Ne trouvez vous pas que la trace architecturale et patrimoniale ne soit le sceau indispensable à l’âme de la nation France. D’ailleurs, le Romantisme et la Jeune France ont porté ainsi l’heureuse et fondamentale invention des Monuments Historiques. L’abbé Grégoire, inventeur en pleine Terreur du mot vandale au sujet du patrimoine et Alexandre Lenoir, créateur du Musée des Monuments Français sont des grands hommes à inscrire au Panthéon de la défense du Patrimoine.
De Victor Hugo, il en est de même du visionnaire qui écrivit en 1825, six années avant Notre-Dame de Paris, qui avait bien sensibilisé l’opinion publique : « Il y a deux choses dans un édifice : son usage et sa beauté. Son usage appartient au propriétaire, sa beauté à tout le monde, à vous, à moi, à nous tous. Donc, le détruire c’est dépasser son droit. »
Depuis, malgré l’arsenal législatif, « L’intérêt porté aux monuments historiques n’a jamais été unanime, et les batailles contre les « vandales » ont été (et sont encore !) le lot commun à travers la France… ».
Georges Viaud
L’histoire des rues du quartier du Petit-Montrouge
Le Petit-Montrouge, est d’une étymologie étonnante, c’est le cœur historique de notre Petite Patrie et un quartier administratif. Il a pour limites au Nord, le boulevard Saint-Jacques, le square de l’Abbé Migne, l’avenue du Colonel Henri Rol-Tanguy, l’avenue du Général Leclerc et la rue Daguerre ; à l’Est, la rue du Départ, l’avenue du Maine, les rues Gassendi et des Plantes ainsi que la place et avenue de la Porte Didot ; au Sud, le périphérique et le boulevard Romain Rolland et à l’Ouest, les rues du Professeur Hyacinthe Vincent, Émile Faguet et de la Tombe Issoire jusqu’au boulevard Saint-Jacques, ses lisières se faisant au milieu de la chaussée.
Le Petit-Montrouge était à l’origine la partie la plus proche de Paris. Il était, d’ailleurs, bien plus grand que sa ville d’origine qu’on appelait aussi le Grand-Montrouge.
Au sujet de son étymologie, il y a la légende du sang versé des Gaulois lors de la Bataille de Lutèce. Il semblerait que selon l’abbé Lebeuf, elle viendrait de Guy Troussel, dit le Rouge, seigneur de ces lieux au XIe siècle ou, pour d’autres, de l’argile de couleur ocre rouge de son sol.
Traversé par la « via inferiora », chaussée puis avenue d’Orléans, c’est l’actuelle avenue du Général Leclerc, il n’a été dans sa longue durée que champs, moulins, carrières et couvents. Enfin le mur murant Paris vint qui le fit devenir le cœur historique de notre Petite Patrie.
Quelque 80 années plus tard, nous voila devenus Parisiens, le 1er janvier 1860. Ce n’est point, d’ailleurs, un hasard que la mairie de Montrouge soit devenue celle du XIVe arrondissent de Paris.
Dans notre conférence du 23 septembre prochain, nous allons nous promener dans un fauteuil au fil de ces voies à la découverte de leurs richesses historiques. Dans sa géographie sentimentale, le Petit-Montrouge est varié et multiple du Nord au Sud et d’Est en Ouest.
Georges Viaud
Le Lion de Belfort d’Auguste Bartholdi (1834-1904)
Le fameux sculpteur de la Statue de la Liberté a eu,d’ailleurs, un atelier, 16, rue du Commandeur, XIVe (1)
Les Balades du Patrimoine Au fil des Monuments Historiques de MontparnasseDans le cadre des Journées du Patrimoine des samedi 16 et dimanche 17 septembre prochains, organisé par la mairie du XIVe, nous vous présenterons au départ de la mairie annexe, 12, rue Pierre Castagnou, en alternance, le matin à 10 heures, la Balade du Nord-Est et à 15 heures 30, la Balade du Nord-Ouest.La 34e édition des Journées Européennes du Patrimoine a, d’ailleurs, pour thème « Jeunesse et Patrimoine ». Dans l’arrondissement, nous sommes heureux de compter quelque 56 monuments historiques. Ils nous révèlent ainsi un héritage rare, précieux et significatif allant du XIVe au XXe siècle. Afin de les agrémenter, les promenades urbaines évoqueront aussi les incidences historiques et le petit patrimoine.La Balade du Nord-Est, vous fera découvrir quelque 14 Monuments Historique sur une durée d’une heure 30 et une distance de 3 km 350 que nous nous terminerons à l’abbaye de Port-Royal. La Balade du Nord-Ouest en présentera 15 Monuments Historiques sur un temps d’une heure 20 et un parcours de 4 kilomètres que nous finirons à la Devanture de la librairie de la rue Roger.Nous les dédions à la jeunesse romantique qui a été à l’origine de la florissante et visionnaire prise de conscience sur le juste sauvetage et inventaire des monuments historiques, il y a plus deux siècles. « Sans Chateaubriand, Nodier, Mérimée, Hugo, Guizot, leurs voyages mis en récit, leurs nostalgies mises en scène, leur vision du temps océanique où l’homme n’est plus qu’un fétu ballotté dans les orages des cataclysmes historiques, leur angoisse de la perte et leur passion restauratrice d’esthète, la manie conservatoire et inventoriable n’aurait eu aucune chance de se transformer en postes de fonctionnaires appointés, institutions publiques, bâtiments spécialisés, publications ad hoc… » (1)
Georges Viaud
(1) – Les Statues de rue de Parishttp://statue-de-paris.sculpturederue.fr/page290.html
(2) – Éditions de la Maison des Sciences de l’Homme – Christophe Charle, Pour une sociologie historique du patrimoine ; Vide Les inventeurs du patrimoine : les écrivains d’histoirehttp://books.openedition.org/editionsmsh/917?lang=fr
Affiche d’Anne Lambert
Soirée de vernissage à la Galerie Montparnasse 55
30e Salon de l’association des Peintres et Sculpteurs Témoins du 14e arrondissement
21 juin, date incontournable de Lumière, de joie, de créativité et de rythmes, premier jour de l’été, longue nuit pour la Fête de la Musique battant son plein sur les trottoirs de Montparnasse, où la porte de la Galerie 55 s’est ouverte sur le traditionnel Salon de l’APST-14. Et au cœur du vernissage la voix de l’artiste peintre Mouky s’éleva, émouvante, avec La Bohème de Charles Aznavour, chanson mythique parfaitement adaptée au thème du 30e Salon Les ateliers d’artistes dans le 14earrondissement.
L’ambiance de la soirée était donc plus que CHALEUR-euse en ce jour caniculaire, permettant à la Galerie d’accueillir jusque fort tard les visiteurs, des habitués, des curieux, des amateurs d’art et des musiques avoisinantes, quelques étrangers et provinciaux envoyés par l’Office de Tourisme de Paris.
Les devinettes allaient aussi bon train sur l’identité d’un prêtre, dont le portrait au pastel de Jacqueline Lescurier figurait à la place d’Honneur. Certains s’en souvenaient encore : Le père Maurice Gourdon, fondateur de l’APST-14 en 1987, qui passa le témoin au président André Brageu et lui-même à Marie-Lize Gall. En clôture de son discours, elle remercia les médias ayant relayé cet anniversaire sur papier Le Bulletin de la Société Historique Archéologique du XIVe, La Page, Monts 14, La Revue Cahier des Arts, ou sur internet 14Mairie INFOMAG, La Voix du 14e, les Journalistes du Patrimoine.
Georges Viaud consultant en histoire, conférencier et président de la SHA-14, rappela quelques dates importantes des artistes de La Belle Epoque, des Années Folles jusqu’à nos jours, où l’APST y trouve sa place.
Son histoire de 30 ans présentée sur une cimaise de six panneaux et résumée sur la seconde affiche, un collage – gouaché brodé d’une ronde de couvertures de catalogues en réduction, fut une découverte pour Mélody Tonolli chargée de la Culture et adjointe à Carine Petit, Maire du 14e. Elle en a félicité la présidente, tout en y suivant la variété des thèmes et les inaugurations des élus successifs. Egalement impressionnée par le contenu des Arts et des Lettres de la vitrine, 10 ouvrages écrits par – ou sur – les artistes de l’association. Encore une de nos spécificités.
Ce 21 juin, Mélody représentait donc Carine Petit et Danièle Pourtaud Conseillère déléguée, chargée des manifestations culturelles, une fidèle du Salon depuis les années 90. Elles étaient avec nous par la pensée, comme l’indiquaient leurs messages. Ce soir-là, il y avait une éclosion d’inaugurations, mobilisant les élus en divers autres quartiers.
Tout en se prêtant au jeu des photos de Claude Lescurier devant les œuvres des exposants, elle a pu discuter avec chacun, intéressée par le thème des ateliers du 14e, comme l’indiquait l’affiche d’Anne Lambert, et par l’accueil que nous avions réservé à cinq sculptrices sur pierre de l’Atelier Robert Juvin. Désormais habituées du lieu y exposant pour la troisième fois, le public a pu reconnaitre leurs techniques et leurs styles, complémentaires du travail de Simone Choré et Michèle Dounovetz de l’APST, le raku et la terre cuite.
Toutes ces passions d’artistes s’inscrivent chaque année dans la sauvegarde du patrimoine local, prolongeant ainsi la mémoire des quartiers du 14e arrondissement.
Marie-Lize Gall, Présidente de l’APST-14
René-Léon Cottard, Vie et histoire du XIVe arrondissement : Montparnasse, Parc de Montsouris, Petit Montrouge, Plaisance…, Editions Hervas, Paris, 1988.
Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k33305493
Jean-Louis Robert, Plaisance près de Montparnasse, Quartier parisien, 1840-1985,
Presses de la Sorbonne, Paris, 2012.
Presses de la Sorbonne : http://books.openedition.org/psorbonne/1584?lang=fr
Emile Wiriot, Le quartier Saint-Jacques et les quartiers voisins,
leurs transformations à travers les siècles : Paris, de la Seine à la Cité universitaire, Tolra, Paris, 1930.
Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k165711w
Livres d’histoire sur le XIVe arrondissement
Sur Internet, nous trouvâmes ces trois livres fort intéressants qui racontent la riche histoire de notre Petite Patrie. Nous vous les présentons avec leurs sites et liens.
– René-Léon Cottard, Vie et histoire du XIVe arrondissement : Montparnasse, Parc de Montsouris, Petit Montrouge, Plaisance…, Editions Hervas, Paris, 1988.
Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k33305493
Par contre, cet ouvrage n’est pas téléchargeable, il n’est accessible qu’en seule lecture.
– Jean-Louis Robert, Plaisance près de Montparnasse, Quartier parisien, 1840, 1985, Presses de la Sorbonne, Paris, 2012.
Presses de la Sorbonne : http://books.openedition.org/psorbonne/1584?lang=fr
– Emile Wiriot, Le quartier Saint-Jacques et les quartiers voisins, leurs transformations à travers les siècles : Paris, de la Seine à la Cité universitaire, Tolra, Paris, 1930.
Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k165711w
Rien qu’en saisissant respectivement Petit-Montrouge et Mairie du XIVe sur le site Gallica, il y a 705 publications, 400 de la presse et de revues et 10 images ainsi que beaucoup sur la maison commune. Imaginez ce vous pourriez découvrir en multipliant les mots clés…
Georges Viaud
Mairie du XIVe arrondissement et square Ferdinand Brunot
Prodromes historiques
et visite de la mairie principale et annexe du XIVe
Sur les cantonnières au Sud de l’éclatante Salle des Mariages, décorée dans le style Troisième République, où nous pouvons admirer face au pupitre du maire une Marianne décorée de feuilles d’acacias, vous y découvrez deux millésimes « 1852-1889 », deux dates évoquant l’histoire architecturale du monument.
La mairie, qui avait à l’origine un plan carré, a été construite de 1852 à 1858 par Claude Naissant (1801-1879), architecte du département de la Seine et de l’arrondissement de Sceaux. D’ailleurs, ledit plan carré est toujours apparent par les fenêtres à vitraux du 1er étage.
Le 11 février 1848, le maire Gilles Cadet et le conseil municipal de Montrouge convinrent d’élever la nouvelle mairie au cœur du Petit-Montrouge, les terrains qui furent acquis étant ceux que nous connaissons entre les rues Charles Divry, Boulard, Brézin, chaussée du Maine (actuelle avenue éponyme) et Gassendi.
« La première pierre fut posée le 29 juin 1852 par Mr Berger, préfet de la Seine, après avoir été bénite par Mr Comte, curé du Petit-Montrouge. Dans l’espace de 30 ans, dit le Préfet, la population de la commune est passée de 900 à 9.000 âmes, et ses revenus de 7.000 francs en 1825 atteignant 82.000 francs. »
Le maire était alors Alexandre Dareau (1791-1866), qui l’a été de 1843 à 1848 et de 1852 à 1859, puis de 1860 à 1866, il fut premier magistrat du XIVe arrondissement. Il avait, d’ailleurs, un vaste domaine au Petit-Montrouge, dont l’entrée était, 87-89, avenue d’Orléans qui s’étendait ainsi jusqu’à la rue de la Tombe Issoire.
Enfin, le 1er janvier 1860, le Petit-Montrouge devint parisien dessaisissant de la sorte sa ville d’origine des 9/10e de sa population et des 3/4 de son territoire, ce dynamique territoire s’étant développé entre les enceintes douanière et militaire de Ledoux et de Thiers.
Avant même la fin du Second Empire, la mairie se révélant trop exiguë en raison de l’accroissement de la population, il fut décidé de son agrandissement mais la guerre de 1870-1871 arrêta l’élan de son développement. Il ne fut repris que quelque 10 années tard sous le mandat de Charles Divry qui est honoré par la voie qui longe la mairie au Nord.
De 1884 à 1889, son amplification a été l’œuvre d’Alexandre Aubertin (1838-1899), architecte de la ville de Paris. De 14 grandes fenêtres sur deux étages et un campanile auparavant, il y a rajouté et installé deux pavillons à l’Est et à l’Ouest avec ses 20 grandes fenêtres et sur la façade Sud, 20 grandes fenêtres également, 4 portes dont 2 qui sont des fenêtres sur balcon et un beffroi bien plus imposant. Vous y découvrez également inscrits les 4 quartiers administratifs : Montparnasse, Santé, Petit-Montrouge et Plaisance. d’ailleurs, depuis 1932, ledit quartier de la Santé porte le nom de Parc de Montsouris, certains n’aimaient pas qu’on leur rappela la prison de la Santé. L’architecte a été aussi le décorateur de la Salle des Mariages qui a servi de Salle des Fêtes jusqu’à l’élévation de la mairie annexe. La nouvelle mairie a été ainsi inaugurée le 16 mars 1889 par Eugène Poubelle, préfet de la Seine, et Philippe Lazies, successeur de Charles Divry. L’architecte a également été l’auteur des écoles des garçons et des filles à droite et à gauche de la mairie ainsi que du Gymnase Huyghens, 10, rue Huyghens.
Nous ne saurions terminer cette description de la mairie sans évoquer la place et square de Montrouge, plus connus de nos jours sur le nom de Ferdinand Brunot. En 1867, Jean Vongeois, successeur d’Alexandre Dareau, avait tenu que lesdites place et square, qui s’appelaient alors de la Mairie, prirent le nom de la commune d’origine. Par ailleurs, ledit square de Montrouge a été aménagé grâce au don pris sur la cassette de Napoléon III. Rappelons que le square urbain a été l’une des principales innovations urbanistiques du Second Empire.
Depuis l’arrêté du 9 janvier 2012, la mairie annexe en totalité a été inscrite au titre des Monuments Historiques. Elle a été élevée dès 1931 et inaugurée en 1936. Elle est l’œuvre monumentale de l’architecte Georges Sébille. Nous y étions dans les mêmes situations d’accroissement de la population et du développement économique que l’agrandissement de la maire principale.
A l’origine, l’annexe aurait dû être élever là-même où se trouve la piscine et le square de l’Aspirant Dunant mais on prit le parti de choisir le terrain vague à la suite de l’école des filles d’alors. Ce choix fut éclairé, judicieux et visionnaire en rajoutant un deuxième square et de la monumentalité au charme classique d’antan.
Les samedi 16 à 15 h. 30 et dimanche 17 septembre à 10 h. 30 et 15 h. 30, vous êtes conviés aux visites de la mairie principale et annexe qui vous seront présentés par Thomas Dufresne. Le rendez-vous vous fixé dans le hall d’honneur de la mairie principale.
Georges Viaud
Mairie annexe du XIVe, 12, rue Pierre Castagnou, 75014, Paris