Chers Sociétaires,
C’est avec une vive émotion que nous avons appris le décès de notre ami André Brageu. Il était l’un des vice-présidents de la Société Historique et l’une de ses chevilles ouvrières, se dévouant corps et âme. Il s’investissait pour écrire des articles dans la revue et le bulletin ainsi que pour sa mise sous pli. Il veillait sur les cartes postales tout en rangeant et décorant la salle des archives. Il installait le stand de la Brocante tout en veillant avec un soin extrême à l’exposition historique et artistique de celui-ci, révélant, si besoin est, un grand sens de l’art. Il y avait exposé de nombreuses toiles en belle compagnie de ses cartes postales et des œuvres de ses amis peintres. Il aimait autant Douai, sa ville natale, que son cher 14e arrondissement et particulièrement la rue Daguerre où il vécut de 1942 à sa disparition.
Le 19 juin à la galerie du 55, rue du Montparnasse, un hommage lui sera rendu par les Peintres, Sculpteurs Témoins du 14e dont il avait été de le président de 1997 à 2004, Marie-Lize Gall lui a succédé en tant que présidente. André Brageu restera toujours dans nos cœurs tant pour son dévouement et sa gentillesse.
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Cette année, nous commémorerons le 70e anniversaire de la Libération de Paris, auquel notre ami avait courageusement participé rue Froidevaux et rue Daguerre.
Du 14 juin 1940 au 25 août 1944, Paris a été outragé, brisé et martyrisé. D’un vendredi à l’autre, durant 1533 jours, il a été « le remords du monde libre » et soudain, le 25 août 1944, « il en devient l’aimant… », selon les dires du Général de Gaulle.
A l’Hôtel de Ville, salle Saint-Jean, se tiendra de juin à septembre, une grande exposition intitulée « Libérer Paris. Août 1944 ». Hors murs, des promenades urbaines vous invitent à poursuivre la découverte de l’histoire de l’insurrection et de la Libération du PC du Général Leclerc à celui du Colonel Rol-Tanguy, traversant ainsi notre arrondissement d’Ouest en Est.
Comme tous les ans, en juillet et août, notre Société n’aura aucune activité bien qu’elle commémorera le 25 Août 1944. En septembre, elle sera présente le 7, au Forum de la Rentrée, les 20 et 21, aux Journées du Patrimoine à La Coupole et le 27, il y aura une conférence sur La Libération de Paris, Le Colonel Rol-Tanguy, le Général Leclerc.
Nous clôturerons la commémoration de la Libération de Parie par une promenade en car sur Les Pas de Jean Moulin, du Colonel Rol-Tanguy et du Général Leclerc en partenariat avec le Casa.
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Ce mois-ci, nous vous convions le 14 à 15 heures à la Salle polyvalente, à la conférence avec projection par Georges Grand, intitulée Promenade avec Modiano dans le 14e arrondissement, zone à l’abri des guerres ?
D’ailleurs, l’ouvrage de Francis Mandin, La véritable histoire du Château du Maine…, vient de paraître dans les librairies notamment dans celles du XIVe .
La véritable histoire du Château du Maine
ou les mystères d’un domaine disparu, au cœur du quartier de Plaisance. Les villages du Paris de jadis abritaient nombre de châteaux et domaines aujourd’hui disparus, dont la plupart n’ont laissé aucune trace encore visible dans l’actuel paysage urbain. Ainsi, dans notre 14e arrondissement, au cœur du quartier populaire de Plaisance-Thermopyles, s’élevait naguère un mystérieux domaine d’agrément érigé au début du siècle des lumières, dans cet environnement campagnard et champêtre de la Plaine de Montrouge, avant d’être finalement absorbé par l’extension continue de la capitale.
C’est l’histoire de ce domaine, improprement nommé Château du Maine de ses propriétaires successifs, et de l’évolution d’un coin de campagne, devenu le quartier de Plaisance que nous avons voulu reconstituer au travers de cette enquête historique, depuis le début du 18e siècle, jusqu’à nos jours….
Cependant, la reconstitution de la véritable histoire de ce mystérieux domaine et de ses propriétaires authentiques, nous a donné du fil à retordre, car à vrai dire, nous ne disposions que de bien maigres éléments, que ce soit en matière iconographique ou historique. En effet, la paternité de notre pseudo Château du Maine (qui n’était en fait qu’une fort belle folie typiquement 18e) a été bien longtemps attribuée à tort à Louis-Auguste de Bourbon, duc du Maine, légitimé par son royal géniteur, le Roi Soleil.
Cette légende, parfaitement infondée, n’a été mise à mal qu’à partir des années 60, grâce à l’enquête de Marcel Frioux parue dans la revue de la SHA 14, sous l’égide de Gilbert Perroy. C’est donc cet article solidement argumenté qui a servi de base à notre propre enquête historique, complétée et développée après trois années de recherches intensives à la BNF, BHVP, Archives Nationales, Musée Carnavalet, domaine de Sceaux … Nous avons de plus modélisé en images 3D le domaine, son parc et ses dépendances , qui ont occupé pendant près de deux siècles ce secteur campagnard de la Plaine de Montrouge, bien avant l’avènement triste Plaisance et de la construction de la Zac Didot (à l’emplacement exact du domaine disparu). Ainsi, nos lecteurs pourront effectuer une visite virtuelle complète du domaine de Fantaisie, ainsi que l’avait baptisé son plus célèbre propriétaire, L’Illustre critique, Elie-Catherine Fréron, lors de la conférence, prévue en septembre.
« Francis Mandin »
L’ouvrage est disponible dans toutes bonnes librairies du 14e ainsi que dans la version numérique sur le site de l’éditeur : numilog.com
De l’étrange défaite, la drôle de guerre, à la Libération de Paris
Dans L’Etrange défaite, Témoignage écrit en 1940, Marc Bloch, analysant la défaite française et la chute de la IIIe République y décrit les raisons de cette débâcle. Ce n’est pas l’infériorité de l’armée mais surtout la profonde faillite d’ordre moral et intellectuel de la société française.
Ancien combattant, citoyen engagé, l’historien Marc Bloch y avait écrit notamment : « Il est deux catégories de Français qui ne comprendront jamais l’histoire de France, ceux qui refusent de vibrer au souvenir du sacre de Reims ; ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la Fédération. Peu importe l’orientation présente de leurs préférences. Leur imperméabilité aux plus beaux jaillissements de l’enthousiasme collectif suffit à les condamner. » Officier décoré à la Grande Guerre et à la Bataille de France, il entra en résistance à partir de 1941 à Montpellier devenant à partir de 1943 à Lyon, l’un des responsables de Franc-Tireur, mouvement et journal clandestin puis dans les MUR. Les Mouvements unis de la Résistance étaient une fédération des mouvements : Combat, Libération et Franc-Tireur, conçues en janvier 1943 par la volonté de Jean Moulin. Arrêté le 8 mars 1944, Marc Bloch est torturé à la prison de Montluc par les hommes de Klaus Barbie, tout comme Jean Moulin. Il fut fusillé le 16 juin 1944 à Saint-Didier de Formans au nord de Lyon.
Que n’aurait-il pas exprimé, s’il avait vécu ou entendu parler de la Libération de Paris ? Aurait-il enrichi le sacre de Reims et la fête de la Fédération de l’enthousiasme collectif de cette libération capitale ? Ce fut un temps précieux où les Parisiens ont montré au monde leur passion et leur volonté de liberté.
Qu’aurait écrit Marc Bloch sur le Colonel Rol-Tanguy et le Général Leclerc, les deux hautes figures de la Libération de Paris ? Georges René Henri Tanguy était fils d’un officier marinier et d’une blanchisseuse, métallo, syndicaliste, communiste, Commissaire politique de la 14e Brigade Internationale lors de la Guerre d’Espagne, soldat de 1er classe, armurier, résistant, responsable militaire des Francs-tireurs et partisans, chef des FTP de la région Poitou-Anjou, représentant FTP au comité d’action contre la déportation des STO, colonel des FFI de Paris et d’Île-de-France, libérateur de Paris et compagnon de l’ordre de la Libération.
Philippe François Marie, comte de Hauteclocque, était catholique traditionaliste, officier de cavalerie, capitaine d’état-major, Français libre sous le nom de Leclerc, chef d’escadron, Commissaire général du Cameroun, colonel, commandant militaire du Tchad, commandant de la Force L dite aussi Colonne Leclerc, général de division, commandant de la Deuxième Division Blindée appelée également division Croix de Lorraine, Libérateur de Paris, compagnon de l’ordre de la Libération et maréchal de France à titre posthume.
Leur remarquable destin, si diversifié, porte toute l’âme et l’esprit de la France éternelle s’exprimant dans ces beaux jaillissements de l’enthousiasme collectif.
Le Colonel Rol-Tanguy (1908-2002)
Brève chronologie de la Libération de Paris
– Mardi 1er août : la 2e DB débarque en Normandie.
– Mercredi 2 août : les Américains libèrent Rennes.
– Mercredi 9 août : les Américains délivrent Le Mans. Les services allemands de Paris commencent à déménager. Le général Von Choltitz, nommé gouverneur du Gross Paris par Hitler, prend ses fonctions.
– Jeudi 10 août : la grève des cheminots de la région parisienne se déclenche et s’étend à tous les services publics. Du jeudi 10 au vendredi 18 août : la 2e DB participe à la bataille de Normandie.
– Samedi 12 août : Le Métro cessa de rouler à partir de 13 heures. La radio annonce la prise d’Alençon par la 2e DB et de Châteaudun par les Américains.
– Dimanche 13 août : Les gendarmes et les sapeurs-pompiers se sont mis en grève.
– Mardi 15 août : Une armée franco-américaine débarque en Provence. Il y eut la grève dans la Police et le gardien de la paix, Louis Brélivet est assassiné devant le 45, avenue Ernest Reyer, premier mort de la libération de Paris.
Mercredi 16 août : les postiers se sont mis en grève.
– Jeudi 17 août : A partir de cette date, le stock de farine ne saurait suffire que pour 7 jours. C’est-à-dire – jusqu’au 23 août. La BBC annonce la libération de Chartres, de Dreux et d’Orléans. Radio-Paris suspend ses émissions. Raoul Nordling, consul de Suède, conclut un accord pour la libération des détenus politiques avec le général Von Choltitz.
– Vendredi 18 août : La CGT clandestine appelle à la grève générale. Au matin, les journaux collaborationnistes ne paraitront plus. L’après-midi, l’affiche du colonel Rol-Tanguy, proclamant l’insurrection du peuple de Paris, est apposée sur les murs.
– Samedi 19 août : Dans un Paris affamé, il y a les premiers combats ainsi que la libération des mairies, des ministères, des bâtiments publics et des journaux. Dans la nuit du 19 au 20, le Colonel Rol-Tanguy installe au 7-9, rue Schœlcher, le QG des FFI dans l’immeuble du Service des Égouts de Paris. Le Commandant Cocteau-Gallois fut alors envoyé en mission afin de rencontrer le général Patton et le Général Bradley. La Préfecture de Police est prise par ses agents, dont le réseau Honneur de la Police partit du café Le Fontenoy, 37, rue de Vanves. La mairie du XIVe arrondissement est délivrée à 16 heures par le Comité Local de Libération.
– Dimanche 20 août : Les combats de rues se poursuivent.
Le Colonel Rol-Tanguy et l’Etat-major des FFI installent leur PC dans l’abri de défense passive, sous le bâtiment ouest de la place Denfert-Rochereau. Les Américains amorcent le contournement de Paris. L’Hôtel de Ville est libéré à 6 h. 15 par Léo Hamon du CPL et Ceux de la Résistance.
Le Général Leclerc de Hauteclocque (1902-1947)
Suite de la brève chronologie de la Libération de Paris
Le Général de Gaulle atterrit à Maupertuis à 8 h. et se rend auprès du général Eisenhower pour le convaincre d’envoyer la 2e DB libérer Paris. Des négociations s’engagent à 9 h. au consulat de Suède en vue de de la trêve.
– Lundi 21 août : Les combats de rues se prolongent malgré la trêve. Le général Leclerc, commandant de la 2e DB, envoie un détachement en direction de Paris, aux ordres du chef d’escadron de Guillebon. Les journaux de la Résistance sont mis en vente. En fin d’après-midi, au 8 de l’avenue du Parc Montsouris, le COMAC et CNR décident de rompre la trêve et d’élever des barricades. Il y eut près de 600 dans Paris.
– Mardi 22 août : Le commandant FFI Gallois, adjoint de Rol-Tanguy, arrive à 9 h. au QG du général Bradley où il rencontre le général Leclerc. Les combats des rues atteignent leur maximum d’intensité et Paris se couvre de barricades. Le Général de Gaulle ayant réussi auprès des Alliés, le général Bradley donne l’ordre au général Leclerc de marcher sur Paris.
– Mercredi 23 août : Les combats de rue sont moins fréquents que la veille. Hitler donne l’ordre au Général Von Choltitz d’opérer le maximum de destructions à Paris. La 2e DB à 6 h. 15 s’ébranle vers Paris. A 9 h., le Grand Palais est incendié.
– Jeudi 24 août : Les combats des rues sont moins nombreux que la veille. Le groupement Billotte de la 2e DB arrive à 19 h., à la Croix-de-Berny. La radio française annonce à 20 h., l’arrivée de la 2e DB et la Nueva du capitaine Dronne est à 21 h. 22, devant l’Hôtel de Ville.
– Vendredi 25 août : Le général Leclerc arrive par la porte d’Orléans et installe son PC à la gare Montparnasse. A l’Hôtel Meurice, le général Von Choltitz se rend à la 2e DB à 14 heures 45 et signe à la préfecture de Police à 15 h. 30, l’acte de capitulation. A 16 heures 15, le général Von Choltitz signe à la gare l’ordre de reddition des points d’appui. Le Colonel Rol-Tanguy signe une des ampliations de la convention de reddition. A 16 heures 30, le Général de Gaulle arrive à la gare Montparnasse. A 19 heures, il est reçu l’Hôtel de Ville et fait une allocution dont on retrouva une ébauche. « Il y a là des minutes, nous le sentons tous qui dépassent chacune de nos pauvres vies. Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! Mais Paris libéré, par lui-même, libéré par son peuple, avec le concours… de la France tout entière, de la France qui se bat, de la seule France, de la vraie France, de la France ternelle. »
– Samedi 26 août : A partir de 15 h., le Général de Gaulle est acclamé par la foule parisienne de l’Arc de Triomphe à Notre-Dame.
ACTIVITEE
Une de nos sociétés-sœurs fait son salon Du 16 au 29 juin 2014, 27e Salon des Peintres, Sculpteurs, Témoins du 14ème arrondissement
Hommage à André Brageu (1920-2014)
La flamme qui nous a éclairés si longtemps dans notre 14e, s’est peu à peu éteinte, laissant une belle lueur de souvenirs… Notre ami André Brageu, Président d’Honneur de l’Association des Peintres et Sculpteurs Témoins du 14ème, avait succédé de 1997 à 2004 au Père Gourdon, son fondateur. A son tour, il m’avait fait confiance, me demandant d’assurer sa succession, en accord avec tous les adhérents.
Son parcours est longuement décrit dans notre Annuaire illustré. Issu d’une famille d’artistes, il entre aux Beaux- Arts de Douai en 1936, où il est né, puis de Paris en 1941. A la Libération de Paris, il exerce plusieurs métiers, dont celui de tapissier.
Figure incontournable, il a représenté avec talent et grande précision sa rue Daguerre, au gré des saisons : l’animation colorée du marché, la géométrie de ses toits sous la neige, les commerçants, mais aussi, boulevards, immeubles et personnages de ce 14e, auquel il était si attaché. Autant de sujets du Grand Montparnasse, qu’il présenta en 1999, à la Galerie Montparnasse 55, lors de son exposition personnelle, «Le trait et la plume», car il excellait aussi dans une représentation originale des lettres de l’alphabet. Il avait tenu à participer au 27e Salon de ce mois de juin, avec cette toile «Ce n’était pas du cinéma»…. pour nous, c’est un vrai coup de théâtre ! Nous lui rendrons un bel hommage, en présence de son fils Rémi, photographe.
Le salon est également à découvrir dans l’Annuaire illustré de l’APST-14 et sur le Site Internet www.apst14.asso.fr. Le vernissage et l’hommage à André Brageu auront lieu, 55, rue du Montparnasse, à 18 heures 30, le jeudi 19 juin.
Marie-Lize Gall Présidente de l’APST-14
Activités de notre Société de juin à novembre. Le 14 juin à 15 heures à la Salle polyvalente
PROMENADE avec MODIANO dans le XIVème ARRONDISSEMENT, ZONE à l’ABRI des GUERRES ?
Conférence avec projections de photographies par Georges Grand : Beaucoup de pages de plusieurs romans de Modiano évoquent cet arrondissement, et même certains s’y déroulent pour l’essentiel : en fait, le 14ème semble d’abord un lieu de paix, à l’abri des guerres, en contraste avec d’autres quartiers de Paris, extrêmement inquiétants. Pourtant, on peut y frôler la mort, les guerres et leurs séquelles (Occupation, guerre d’Algérie)…
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En juillet et août
Nous sommes censés être en vacances bien que nous commémorerions, comme il se doit, le 70e anniversaire de la Libération de Paris.
De septembre à novembre, les conférences
ont lieu à 15 heures à la salle polyvalente
Samedi 6 septembre : Le Forum de la Rentrée
Samedi et dimanche 20 et 21 septembre : Les Journées du Patrimoine à La Coupole.
Samedi 27 septembre : conférence avec projection sur La Libération de Paris, Le Colonel Rol-Tanguy, le Général Leclerc.
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Samedi 4 octobre
Dans le cadre du 70e anniversaire de la Libération de Paris, le Casa et la SHA 14 organisent une promenade en car suivie d’un goûter à La Coupole, le 4 octobre moyennant le prix de 25 €. Elle se déroulera sur Les Pas de Jean Moulin, du Colonel Rol-Tanguy et du Général Leclerc. Vous pourrez vous inscrire auprès du CASA, au 1er étage du 26, rue Mouton-Duvernet.
Samedi 18 octobre : Conférence avec projection par Francis Mandin : La véritable histoire du Château du Maine ou les mystères d’un domaine disparu, au cœur du quartier de Plaisance.
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Samedi 15 novembre : Conférence : Apollinaire, le soldat à la tête bandée, le poète à la tête étoilée.
La Visite du Musée Clemenceau est prévue pour le 3e week-end ou bien pour le 4e du mois de novembre.
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70e anniversaire de la Libération de Paris
Libérer Paris. Août 1944
Cette grande exposition se tiendra de juin à septembre à l’Hôtel de Ville, salle Saint-Jean.
Autres activités
Les Promenades urbaines de la Libération de Paris
Le Colonel Rol-Tanguy, le Général Leclerc et la Libération de Paris
Prévues en 1 heure 45 mn, elles se tiendront les samedis 7 et 21 juin et le 23 août à 15 heures.
Laissez-vous guider dans le Montparnasse de la Libération, d’un quartier général à l’autre, au cœur des événements du mois d’août 1944.
Modalités
La promenade urbaine part des musées Jean Moulin et du Général Leclerc, 23, allée de la Deuxième DB, 75015, Paris. Elles sont chacune au prix de 7,50 € et 6,00 € en tarif réduit.
Si vous êtes intéressés, veuillez réserver aux numéros suivants : 01 40 64 39 44 / 01 40 64 39 52